Catégorie : Actualité FOREBio

  • Assemblée générale 2025 : temps forts et nouveau CA

    Assemblée générale 2025 : temps forts et nouveau CA

    La Fédération des Organisations Économiques de Producteurs 100% Bio a tenu son Assemblée générale les 2 et 3 avril derniers. L’occasion de faire le point, entre autres, sur le partage de la valeur au sein des filières et la question de la transmission des fermes.

    C’est en Loire-Atlantique, à Saffré et Abbaretz que se sont retrouvés les adhérents de FOREBio pour leur Assemblée générale annuelle.

    À l’ordre du jour, deux tables rondes, l’AG ordinaire et la visite de Biolait, qui accueillait les participants sur son site.

    Deux sujets majeurs abordés

    La première discussion avait pour thème « répartition de la valeur au sein des filières
    100% Bio : comment retrouver de la valeur et sécuriser les revenus dans nos fermes et nos groupements ? »

    Nous avons écouté attentivement Martine Cavaillé, coordinatrice d’Interbio Nouvelle-Aquitaine et RICHARD Laizeau, arboriculteur Bio et consultant.

    La première nous a présenté une étude réalisée sur les seuils économiques des filières Bio. Le second nous a proposé de réfléchir sur l’échelle des valeurs et la notion de valeur ajoutée.

    La seconde table ronde portait sur l’installation et la transmission en agriculture Biologique. Les intervenants : Richard Laizeau, précédemment cité, Simon Bestel directeur général de FEVE, « Fermes en vie », Anne-Marie LOURY, productrice/élue et Muriel CONQ, chargée d’installation au GAB 44 et Jacques CHIRON, pour Passeurs de Terres & Terre de Liens.

    Les participants ont pu échanger et apporter leurs expériences.

    Deux axes majeurs pour 2005/2006

    À la suite de ces discussions, l’assemblée a fait le choix d’engager un travail en profondeur pour :

    • Accompagner nos adhérents pour remettre de la valeur dans les fermes et les groupements ;
    • Trouver les moyens d’aider nos adhérents sur les problématiques d’installation, de transmission et de conversion en Bio.

    À l’issue de ces deux journées, un nouveau conseil d’administration a été élu. Ce dernier a reconduit le bureau pour une nouvelle année.

  • Baisse du budget de l’Agence Bio : un coup dur pour les filières biologiques dans un contexte de relance

    Baisse du budget de l’Agence Bio : un coup dur pour les filières biologiques dans un contexte de relance

    Communiqué de presse FOREBIO – SYNABIO

    Paris, le 21 mai 2025. Les annonces de diminution du budget de fonctionnement de l’Agence Bio ainsi que la baisse de dotation du Fonds Avenir Bio (l’ensemble pour un total de 15 Millions d’euros) est une douche froide pour les acteurs économiques des filières biologiques qui commencent à voir une légère reprise de la consommation après plus de 3 ans de crise.

    La  campagne de communication de l’Agence bio « C’est bio la France ! » : outil indispensable pour relancer la consommation

    Alors que la filière biologique se relève d’une crise sans précédent – marquée par une baisse de la consommation, une baisse des surfaces cultivées et des déconversions d’exploitations, la baisse des budgets de l’Agence Bio, principal outil de communication et de structuration du secteur, apparaît comme une décision incompréhensible. Cette annonce intervient alors même que la campagne nationale « C’est bio la France ! », lancée par l’Agence Bio, mobilise de manière inédite l’ensemble des acteurs de la filière pour relancer la consommation de produits biologiques.

    Le Fonds Avenir Bio : outil indispensable pour relancer et consolider les filières

    Depuis sa création en 2008, le Fonds Avenir Bio s’est imposé comme un outil stratégique pour les PME (entreprises et organisations économiques de producteurs) engagées dans la valorisation de la production biologique d’origine française, contribuant ainsi à la souveraineté alimentaire et au dynamisme des territoires. Ce fonds a permis de financer plus de 350 projets visant à :

    • Accompagner le développement et la structuration de nouvelles filières de production biologique ;
    • Créer et développer des outils de transformation assurant des débouchés pour des productions nationales de qualité.

    L’effet de levier du Fonds Avenir Bio est notable : en moyenne, les opérateurs économiques mobilisent trois fois le montant des fonds perçus, grâce à des prêts bancaires et des investissements privés, et souvent davantage.

    Cependant, la réduction drastique du budget annoncée, passant de 18 millions d’euros en 2024 à 8,6 millions d’euros en 2025, met en péril de nombreux projets émergents essentiels à la consolidation des filières biologiques. Cette baisse compromet des initiatives telles que la rénovation d’outils de collecte, la modernisation d’unités de transformation pour améliorer la compétitivité, et le développement de gammes de produits destinées à la restauration hors domicile, facilitant ainsi l’atteinte des objectifs de la loi EGALIM.

    Dans un contexte de sortie de crise, il est impératif que les montants alloués dans le cadre de l’appel à projets 2025 soient à la hauteur des enjeux, afin de permettre aux acteurs économiques de relancer leurs activités et de consolider les filières biologiques françaises.

    Quelques exemples de projets soutenus par le FAB : 

    • Le Fonds Avenir Bio a joué un rôle primordial à un moment clé pour le développement de Bio&Lo. Notre projet repose sur le financement par nos agriculteurs partenaires d’un investissement conséquent dans une micro laiterie. Grâce au Fond nous avons pu sécuriser les investissements des premières fermes partenaires. Le fond a donc eu un rôle d’amorçage pour embarquer dans notre aventure les premières fermes et donner ainsi envie aux suivantes de nous  rejoindre. Christophe Audouin, dirigeant de Bio&Lo. 
    • Avena Bio est un exemple réussi de structuration de filière permis par le Fond Avenir Bio : « Issue d’un partenariat entre 3 coopératives céréalières Bio, 2 transformateurs de céréales et un distributeur spécialisé, la SAS a investi dans une unité de floconnage de céréales Bio et ainsi pu relocaliser en France cette activité de transformation et valoriser localement la production du Grand Est. Sans le financement du FAB permettant un apport correspondant à 10% des investissements, ce projet n’aurait pas vu le jour ». Julien Bourgeois, Vice-président de la COCEBI.
    • « Nous avons mis en place une filière graines de courges origine France avec un groupe de 9 agriculteurs en CUMA qui assument l’achat du matériel de récolte très spécifique et ECOLIENCE qui assume le matériel de lavage et séchage des graines. Ce projet permet de produire sur le territoire des graines qui à ce jour sont beaucoup importées d’Autriche ou de Chine. Nous envisageons 200 ha la première année pour atteindre plus de 500 ha à 5 ans. Le Fonds Avenir Bio est déterminant dans l’équilibre du montage financier qui a été réalisé. Le désengagement brutal de la parole de l’État est un très mauvais signal pour les acteurs de la Bio » Frédéric Grünblatt, Président de Ecolience.

    Télécharger le communiqué de presse :

  • Ce 22 mai, célébrons ensemble les 40 ans du label BIO

    Ce 22 mai, célébrons ensemble les 40 ans du label BIO

    Les groupements de producteurs FOREBio ont préparé une dégustation spéciale pour célébrer les 40 ans du label Agriculture Biologique.

    Un jalon marquant pour cette agriculture respectueuse de l’environnement et du bien-être animal.

    Depuis quatre décennies, ce label garantit des produits cultivés sans pesticides chimiques de synthèse, sans OGM, et avec une attention particulière à la biodiversité et aux cycles naturels.

    Lors de cet événement, vous pourrez découvrir une variété de produits issus de nos groupements de producteurs 100% Bio, engagés dans une agriculture durable et éthique (viandes, fruits & légumes, charcuteries, céréales).

    L’occasion de savourer des saveurs authentiques tout en soutenant une démarche qui privilégie la santé de notre planète et de ses habitants.

    Joignez-vous à nous pour célébrer cette belle initiative et goûter à un avenir plus vert !

    Entrées : https://evenement-bio.lemonde.fr/accueil/255-40-ans-du-label-bio-l-agence-bio.html

  • Placer la Bio au cœur de la Stratégie nationale pour l’Alimentation, la Nutrition et le Climat

    Placer la Bio au cœur de la Stratégie nationale pour l’Alimentation, la Nutrition et le Climat

    La Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire de la France l’a annoncé lors du Salon de l’Agriculture 2025, le texte de la Stratégie nationale pour l’Alimentation, la Nutrition et le Climat sera mis en consultation dès mars 2025.

    Issue de la loi Climat et résilience de 2021 et supposée entrée en vigueur en juillet 2023, la SNANC s’est longuement fait attendre. Pourtant, la Stratégie nationale pour l’Alimentation, la Nutrition et le Climat permettrait de répondre aux attentes du milieu agricole et de cesser de se reposer uniquement sur les « consommacteurs ».

    Nous, acteurs de l’alimentation biologique, rappelons l’importance d’accorder des moyens à la hauteur des ambitions annoncées pour faire de cette stratégie un réel levier de transformation.

    La SNANC permettrait enfin de travailler à l’articulation de notre offre alimentaire avec la demande. 

    Tribune de l’IDDRI du 25 avril 2024

    Retrouvez notre demandes communes formulées avec nos partenaires – SYNABIO et LA MAISON DE LA BIO :

    • Définir des objectifs chiffrés et ambitieux d’évolution de la production et de la consommation de produits biologiques, en commençant par 12% de produits bio en valeur sur l’ensemble des circuits de consommation à horizon 2030.
    • Inscrire le principe d’une Stratégie Nationale pour l’agriculture et la consommation biologiques réellement co-pilotée par les Ministères de l’Agriculture, de la Santé, de la Transition Écologique, de l’Éducation et la solidarité.
    • Inciter et former les acteurs de la restauration collective pour atteindre, dans les plus brefs délais, l’objectif de 20% de bio fixé par EGALIM et s’assurer de l’élargissement de cet objectif à l’ensemble de la restauration commerciale.
    • Améliorer les données produites par l’Observatoire de la formation des prix et des marges (OFPM) au sein de la chaîne de commercialisation, en comparaison avec le conventionnel – au-delà des produits laitiers et des fruits et légumes.
    • Veiller au renforcement des moyens alloués aux campagnes de communication grand public sur la bio notamment via la sécurisation et l’augmentation du budget commun de l’Agence BIO.

    Télécharger la note de position intégrale :

  • Retrouvez-nous au Salon de l’Agriculture !

    Retrouvez-nous au Salon de l’Agriculture !

    Nos producteurs et productrices Bio se relaieront chaque jour du lundi 24 au vendredi 28 février pour vous parler de leur métier et vous présenter les productions de leur groupement 100% Bio.

    Des dégustations de bœuf, veau, porc, charcuteries et lait Bio sont au programme :

    • De 12h30 à 13h30 pour des viandes Bio de nos adhérents cuisinées par un chef
    • Mardi 25 février de 15h à 16h pour un chocolat chaud concocté à partir du lait Biolait 
    • De 17h30 à 18h30 pour les charcuteries Bio de nos adhérents

    Retrouvez-nous sur le stand stand K137 dans le Hall 1 « Les Magasins Bio » dès lundi 24 février pour des dégustations de Viandes et Produits Laitiers Bio.

  • Vœux d’Annie Genevard : les acteurs des filières bio attendent de la ministre un mea culpa politique sur l’Agence Bio

    Vœux d’Annie Genevard : les acteurs des filières bio attendent de la ministre un mea culpa politique sur l’Agence Bio

    Paris, 21/01/2025.

    La position “de sagesse” exprimée par le ministère de l’agriculture au moment du vote au Sénat de l’amendement “Duplomb” visant à supprimer l’Agence Bio est un affront pour les filières bios qui attendent de la ministre ce soir un revirement clair.

    La position d’Annie Genevard entre en totale contradiction avec la stratégie suivie jusqu’à alors, y compris par elle-même. “Le 17 décembre on était tous réunis en comité de pilotage du plan ambition bio pour la présentation par l’Agence Bio de la nouvelle campagne de promotion qui sera lancée au Salon de l’agriculture, un mois plus tard on nous dit qu’on va supprimer l’Agence bio, au mieux c’est une erreur politique, au pire c’est une faute grave” estime les organisations signataires qui n’ont pas été informées et encore moins consultées.

    Les acteurs des filières biologiques rappellent que l’Agence Bio dispose d’un contrat d’objectifs et de performance qui a été validé par le ministère de l’agriculture il y a moins d’un an. “On a regardé les analyses faites par la Cour des comptes sur les agences d’Etat, le fait de disposer d’un COP est une recommandation clairement mise en avant par la Cour comme un indicateur de la performance des Agences” expliquent les signataires. En 2022, la Cour des comptes recommandait d’ailleurs d’augmenter les moyens de l’Agence Bio, et non pas de la supprimer.

    Depuis l’adoption par le Sénat de cet amendement, une mobilisation massive s’organise pour demander le maintien de cet acteur indispensable au développement des filières bio. Des ONGs, des parlementaires, des organisations professionnelles, des entreprises, y compris au-delà de l’écosystème bio, sont immédiatement montés au créneau pour défendre l’Agence bio.

    La Ministre de l’Agriculture doit prendre en compte ces réactions et nous l’appelons à revenir sur sa position et à garantir la pérennité de l’Agence bio.

    Contacts presse

    – FNAB : Philippe Camburet (tel : 06 77 94 63 52)

    – SYNABIO: Charles Pernin (tel : 06 13 40 29 92)

    – FOREBIO : Mathieu Lancry (tel : 06 79 59 20 10)

     

  • Reportage : élever des porcs mâles non castrés en agriculture biologique

    Reportage : élever des porcs mâles non castrés en agriculture biologique

    Merci à la station expérimentale bio INRAE PORGANIC, qui a accueilli le tournage.

    Retrouvez l’intégralité des ressources produites dans le cadre du projet sur : https://www.produire-bio.fr/articles-pratiques/alternatives-a-la-castration-des-porcelets-en-bio-projet-casdar-farinelli/

  • Inauguration d’AVENA BIO : le nouveau maillon incontournable de la Filière Avoine Bio Française

    Inauguration d’AVENA BIO : le nouveau maillon incontournable de la Filière Avoine Bio Française

    Le 02 octobre 2024 se sont réunis pour l’inauguration de l’usine AVENA BIO à Nitry les six organisations associées dans sa création (COCEBI, PROBIOLOR, BIOCER, FAVRICHON & VIGNON, CERECO et BIOCOOP).

    L’ambition de ce projet était de réunir en amont les coopératives de producteurs, et en aval les transformateurs et la distribution spécialisée, dans une filière équitable française de production et de distribution de céréales bio pour le petit-déjeuner.

    Bien que l’avoine soit la première production de l’usine, elle transformera d’autres céréales et légumineuses afin de proposer : des flocons ou de la farine d’avoine, des flocons de céréales sans gluten, des flocons et des farines de légumineuses.

    Le but de ce projet est avant tout de relocaliser la fabrication en France, proche des bassins de production.

    Le 1er octobre 2024 marquera une nouvelle étape pour l’agriculture biologique en France avec l’inauguration de l’usine AVENA BIO à Nitry, dédiée à la production de flocons et de farine d’avoine 100% bio. Ce projet innovant, qui réunit producteurs, transformateurs et distributeurs, symbolise la montée en puissance d’une filière bio française équitable et durable.

    Guillaume CONSEIL, Président d’AVENA BIO

    Retrouvez toutes les informations sur AVENA BIO : https://fermesbio.fr/avena-bio/

  • Publication de l’Observatoire 2023 des Viandes Bio

    Publication de l’Observatoire 2023 des Viandes Bio

    Interbev a récemment publié l’observatoire des viandes Bio qui fait le bilan de l’année écoulée sur la production et consommation de viandes Bio.

    Quelques chiffres-clés pour l’année 2023 :

    • En 2023, la production d’animaux biologiques a reculé de 18%, conséquence d’un repli de la consommation de viandes Bio (-17% depuis 2019, tous circuits confondu.

    • La production de viande bovine affiche une baisse de 14% par rapport à 2022. En cause, la réduction du nombre d’animaux dans les cheptels, des arrêts d’exploitations, ou la réaffectation des bovins bio vers le conventionnel (dans un contexte de prix élevé sur les gros bovins bio allaitants)
    • Concernant la viande ovine, les abatages ont diminué de 12% malgré une augmentation du cheptel de brebis viande de +3.3%. Le manque de débouchés justifie cet écart avec un flux d’agneaux bio réaffecté au conventionnel.

    • La viande porcine affiche le plus gros recul, avec une baisse de 23% des abattages versus l’année 2022, conséquence de la baisse de la consommation de viande et charcuterie Bio. Le nombre d’élevages de truies Bio a reculé de 7.6% (deuxième année consécutive de baisse). Comme l’indique le communiqué de presse : « Le marché du porc bio se situe désormais à des niveaux comparables à ceux de 2017/2018, reflétant un retour en arrière dans la croissance de la filière. »

    L’ensemble du bilan est disponible dans le Communiqué de Presse :

  • Julien Bourgeois élu président de FOREBio

    Julien Bourgeois élu président de FOREBio

    [Paris, Mardi 28 mai 2024]

    La Fédération des Organisations Économiques de Producteurs 100% Bio annonce l’élection de Julien Bourgeois, polyculteur-éleveur Bio dans l’Yonne, en tant que nouveau Président de FOREBio.

    Après avoir participé à la création de FOREBio en 2018 puis à sa structuration, Mathieu Lancry a passé le flambeau de la présidence à Julien Bourgeois le 24 avril dernier lors de l’Assemblée Générale annuelle.

    Cette nouvelle présidence de Julien Bourgeois, vice-président de FOREBio depuis 4 ans, s’inscrit donc dans la continuité de ce qui a été entrepris en 2023, alors que la crise continue de toucher sévèrement les filières Bio organisées.

    Mathieu Lancry salue ce choix : « en tant que polyculteur-éleveur mais aussi vice-président de la coopérative de céréales Bio COCEBI, Julien Bourgeois saura porter la voix de toutes les filières représentées au sein de FOREBio et porter nos valeurs pour un développement pérenne de la Bio en France ».

    Julien Bourgeois aura pour mission de veiller à la poursuite des objectifs de l’organisation. Il s’agit de continuer le travail de représentation des filières 100% Bio, d’accompagner les groupements de producteurs durant cette période de crise et de poursuivre le travail d’expertise sur les filières Bio afin de mieux valoriser les produits et les engagements des groupements de producteurs.

    Parmi les demandes prioritaires : que le gouvernement tire la leçon de la crise en mettant à disposition des outils de régulation de marché, des moyens financiers pérennes pour communiquer sur le label bio, une rémunération à sa juste valeur des services environnementaux générés par les producteurs.trices Bio et l’application de la loi EGALIM.

    Julien Bourgeois a exprimé sa confiance pour l’avenir « suite au travail de fond effectué par Mathieu Lancry ces dernières années pour structurer et faire entendre la voix de FOREBio dans les différentes discussions avec les pouvoirs publiques ».

    Il sera épaulé par deux vice-présidents : Bernard Roby (éleveur Bio et président de SCA Pré-Vert), réélu à la vice-présidence, et Clément Aribaud (Président de Bio Centre Loire en Fruits & Légumes) nouvellement élu à ce poste.